Quand elle était petite, Héloïse Rémy voulait devenir danseuse, alors elle est allée faire des pointes dans un conservatoire de danse classique à l'âge de 10 ans.
C'est sa vie qui commence.
Après, elle a voulu comprendre les mystères du corps humain et aider le monde à tourner dans le bon sens, alors elle a étudié la médecine pendant 4 ans.
Là, elle a découvert la danse contemporaine et surtout la création chorégraphique.
Depuis lors, elle n'a cessé de créer et de faire connaissance avec sa démarche artistique, petit à petit.
Ca commence.
Elle part s'installer au Québec en 1996 à l'âge de 24 ans. C'est à Montréal qu'elle découvre véritablement le métier de chorégraphe et qu'elle raffine sa philosophie de vie : le lien à la vie.
Héloïse crée son premier solo en 1999 (du Pareil au Même),puis un trio (le monde est petit) en 2001, encore un trio (Casatierra) en 2005 et La Traversée en 2006, une chorégraphie pour un groupe d'humains qui respirent ensemble.
Sa vie commence.
Elle revient vivre en France en 2010 et donne la vie.
Sa vie commence.
Elle crée Pulsatio, une autre chorégraphie de grand groupe.
Elle découvre le travail avec des publics spécifiques : à l'école, en maison de retraite, dans le monde du handicap, à l'hôpital.
Elle fait le lien entre l'art et les gens dans leur milieu de vie.
Elle donne naissance à son deuxième enfant et crée Etre en 2014.
Sa vie commence.
Puis il y a Light un spectacle pour les bébés et leur famille (2015).
Inti & Gaïa est un solo jeune public créé en 2018 dans une école maternelle.
La même année, elle crée la chorégraphie pour Contre Tout Contre, un duo de clowns en partenariat avec la compagnie Etincelle Bouillasse.
En 2019, Héloïse crée Du Bonheur, une chorégraphie singulière pour un groupe de danseurs porteurs de handicaps.
Depuis 2019, elle rejoint le groupe d'experts de la plateforme Synaps Academy pour laquelle elle écrit des cours dans la rubrique "développement personnel".
Ce qui l'intéresse dans cette vocation d'artiste chorégraphique, c'est l'aventure humaine, le mouvement, en essayant de toujours avancer dans le sens de la vie.
Pour que ça recommence.
En spirale.
Photo Ediluz
C'est à travers le théâtre qu'Anne-Sophie Guillaume commence sa formation artistique avant de découvrir, au début des années 2000, l'énergie des danses traditionnelles d'Afrique de l'Ouest, dont elle ne pourra plus se passer.
Elle
complète plus tard sa formation en danse contemporaine, notamment avec la danseuse chorégraphe Laina Fischbeck, découverte décisive
qui l'amènera sur le chemin de la professionnalisation. De là, elle collabore à quelques créations avant de fonder sa propre compagnie Le
Syndrome à Bascule où sont développés des projets pluridisciplinaires : danse contemporaine (Demain J'aimerais),
performances (Anonyme), mais aussi théâtre de rue (Les Soeurs
Binette et Les Boîtes de Rue). Anne-Sophie questionne principalement les différentes relations possibles et
originales avec le public. Son action est orientée par la nécessité de l'art dans l'occupation des espaces publics.
Depuis 2014, elle travaille avec la compagnie de danse afro-contemporaine Erébé Kouliballets et la compagnie Dana. Depuis 2021, elle rejoint l'équipe de la compagnie de spectacles de rue
Paris-Bénarès.
C'est en 2020 qu'Anne-Sophie rencontre Héloïse Rémy pour interpréter La Traversée au sein de la Compagnie Lamadeo.
Elle participe par ailleurs à de multiples projets en danse et en théâtre, elle s'intéresse aux publics éloignés du milieu de l'art, mais aussi aux danses traditionnelles du monde et à leur rôle
dans les liens sociaux.
Elle a un rêve : chanter. Elle commence à explorer cette voie et espère en faire quelque chose un jour !
Sylvain Hemeryck est interprète et enseignant en Danse et Aïkiryu (art martial de paix issu de l'Aïkido). Il est 3eme dan et membre de la communauté des enseignants de la FAAGE (Fédération Aïkiryu et Arts du Geste).
Il danse depuis 2013 au sein de la Dance Company Anja Gysin (Soleure / Suisse).
Il est interprète pour la pièce jeune public "Racines" au sein de la compagnie Gazibul (Sandra Enel - Saint Brieuc).
Il dirige la compagnie ADAAGE (Domloup), et y ouvre des espaces de recherche et de création pour amateurs ou organise des évenements pour la rencontre entre Arts du Geste tel que le "Dojo Ephémère".
Avec l'association ARENAAGE (Rennes), il développe la pratique de l'Aïkiryu : cours réguliers, stages , metissage avec la danse et le BMC®, intervention dans les festivals...
Dans sa danse et sa pédagogie, ses influences majeures sont les approches de Isabelle Dubouloz (Mouvement Dansé) et de Gyoheï Zaitsu (danse Butô).
En décembre 2021, il rencontre Héloise Remy (Cie Lamadeo) et intègre La Traversée.
Au travers de ses activités de réalisateur, mais aussi de pédagogue, journaliste et programmateur, Hel Embé défend depuis une vingtaine d’années une certaine idée du cinéma dit « différent », en marge des esthétiques et des modes de production classiques.
Il est cofondateur du Festival des cinémas différents de Paris qui vient de fêter ses 15 ans, et initiateur du secteur « Images différentes – nouveaux médias » au Pôle-Image Haute-Normandie.
Parmi ses films expérimentaux, vidéo art ou d’animation, « Viktor » (1995) et « Viktor et les ombres » (2001), courts-métrages 35mm, ont été sélectionnés dans de nombreux festivals français et internationaux.
En parallèle, il intervient depuis 1994 dans des établissements scolaires, de l’école primaire à l’université, et accompagne des jeunes dans l’écriture, le filmage et le montage de films d’atelier.
Mais son activité principale est la réalisation de créations vidéo pour le spectacle vivant. Depuis 1998, il a conçu une cinquantaine de dispositifs visuels (réalisation, montage et projection de films sur scène) pour des pièces théâtrales ou chorégraphiques et des installations, avec notamment Alain Fleury, Alain Bézu, Yann Dacosta, Michel Laubu, Gisèle Gréau, Sylvain Groud, Maurice Attias, Olivier Poujol, Mélisse… En 2010, son implication dans la BBCompagnie l’amène à concevoir des « univers visuels » plus larges, en ajoutant la lumière et la scénographie à son travail de vidéo.
En 2009 par ailleurs, le Centre d’art contemporain « Satellite Brindeau » au Havre, lui a proposé une exposition personnelle autour de son travail.
En 2013 enfin, il réalise « Le rêve d’une culture partagée », documentaire sur la Maison de la Culture du Havre diffusé sur France 3 national et régional, puis « Les mirages de Jacques Perconte » pour Normandie Impressionniste l’an passé.
Dans ses films cinéma comme dans ses créations vidéo, est toujours présente la relation particulière à l’espace qu’il développe depuis le DESS de géographie-cartographie qu’il obtint en 1991.
En parallèle, il écrit dans divers journaux autour de la bande dessinée depuis 2000.
Biographie à venir
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Ediluz Avenel est originaire du Mexique et vit en France.
Elle travaille régulièrement pour le spectacle vivant, notamment pour des concerts.
Avec la Compagnie Lamadeo, elle a photographié La Traversée à plusieurs reprises et le spectacle Light.
Il y a dans l’approche photographique d’Ediluz une complémentarité entre tradition et modernité qui se révèle au travers de son travail sur « la fête des morts » au Mexique, rituel ancestral issu des cultures Précolombiennes qui lient étroitement la mort à la vie, et ce depuis le plus jeune âge.
Ce mariage culturel fait place au passage du temps, à la déliquescence des choses et des êtres, comme cette série d’images dans l’exposition « Vestiges et Vénus » où l’artiste oppose avec délicatesse et douceur la fuite des jours et de la matière dans l’envol léger et éphémère de la féminité.
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